NicolasPSAAL – Placer son argent au luxembourg

2017 risque fort d’être une plongée vers le futur, puisqu’on parle d’aller explorer (et exploiter) les mines dans l’espace ! Et en la matière, la Grand Duché devrait largement tirer son épingle du jeu car le Luxembourg est fortement engagé vers la conquête des astéroïdes et de la lune, avec en arrière pensée les revenus que ces gros cailloux peuvent générer. Reste que toute la communauté scientifique n’est pas persuadé de l’intérêt du sujet, qui fait largement débat. Et si l’investissement le plus rentable en 2017 se trouvait dans les étoiles ?

L’exploitation minière dans l’espace : une utopie ?

Il faut dire que le projet est très ambitieux. Car pour les défenseurs du projet, c’est de l’or en barres qui se trouve là-haut. Toutefois, avant de récolter ses profits, il faut investir, et des sommes colossales. Seul un pays aussi riche que le Luxembourg peut y mettre les millions nécessaires (avec les Etats-Unis, toujours partant pour gagner plus, bien entendu : la concurrence fait rage entre les deux pays). Et le gouvernement du grand duché croit fermement au projet, en lançant les hostilités avec son spaceresources.lu (à comparer au Space Act des USA). Ainsi, toutes les entreprises prêtent à investir vont bénéficier de conditions favorables, juridiques et réglementaires. Grosso modo, les premières à poser le pied sur une étoile en seront les propriétaires, ou quelque chose d’approchant.

Car les astéroïdes sont faits de métaux rares et précieux, et plein de platine. Il n’y a qu’à se baisser pour le ramasser, ou presque, reste à y parvenir… Et pas à cheval ou en voiture ! C’est un vaisseau spatial qu’il faut, et une foreuse bionique ou presque, bref ce n’est pas une affaire de quelques centaines d’euros tout cela.

Qui peut s’intéresser à ce projet un peu « fou » ?

Car la question qu’il faut se poser, c’est s’agit-il d’un rêve ou d’une réalité possible ? Car atterrir sur un astéroïde est une manoeuvre plutôt compliqué, mais certains l’ont déjà fait sur la lune, non ? Car les dangers sont nombreux, et il faut être prêt à changer sa trajectoire au cas où. Quant à l’exploration proprement dite, sur terre, on sait faire. Pourquoi ne pourrait-on pas utiliser ces technologies là dans l’espace (d’une façon appropriée, bien entendu) ? A l’impossible nul n’est tenu comme le dit l’adage.

Mais il n’y a pas que le Luxembourg sur le coup. La NASA est aussi au taquet, prête à percer les corps célestes les plus durs pour arriver à ses fins. Il y en a quand même quelques dizaines de milliers qui gravitent autour de la terre.

Et combien ça va couter ?

Bonbon comme dirait ma grand-mère. Dans ce genre de projet, le budget augmente toujours très vite. Mais la rentabilité pourrait multiplier l’investissement par un coefficient encore inconnu. De juteux et savoureux milliards de dollars en perspective. Reste qu’il s’agit quand même d’une sacrée plongée dans l’inconnu, car l’espace et ses ressources restent des points d’interrogations majeurs. Ainsi, il est aussi possible de lancer une couteuse mission et de faire chou blanc. Vu les sommes en jeu, cela serait du plus mauvais effet. Les premières explorations seront donc scrutées avec intérêt par les possibles investisseurs. C’est un pari, mais il faut le tenter. L’ombre de Jules Verne plane sur tout cela.

L’être humain est intenable. Il veut aller toujours plus loin, plus vite, plus haut et plus fort. C’est ce qui fait sa force, mais aussi sa faiblesse. 2017 devrait permettre de passer à l’étape supérieure pour aller voir là-haut ce qui s’y passe. Bon vent aux aventuriers des temps modernes. Et si la conquête de l’univers vous intéresse, il serait temps d’apprendre le luxembourgeois !

La crise économique est loin d’être terminée, et la faillite bancaire en 2016 ou 2017 toujours une possibilité, malgré nos politiques qui se veulent rassurants, c’est leur métier, comment le leur reprocher ? La crise financière touche tous les états, et il n’y a pas que la Grèce qui soit en grande difficulté. La garantie des dépôts sera-t-elle toujours assurée en cas de faillite des banques européennes ? Pas si certain. En ce moment, c’est l’Italie qui fait l’actualité, mais si le Royaume-Uni sort de l’union européenne après leur référendum, c’est une cascade de défections qui s’annonce.

La nouvelle union bancaire

Elle sera lancée en Europe le 1er janvier 2016. Son but est d’éviter que le secteur ne s’écroule si la crise financière venait à de nouveau passer par là. Au final, c’est le contribuable qui devrait ne pas être obligé de mettre la main à la poche, puisque les milliards de secours ne viendraient pas de l’argent public. L’idée est donc de profiter des erreurs du passé, faites pendant la dernière crise de l’euro, et de ne pas les renouveler. Les milliards de renflouement restent encore dans la gorge de ceux qui sont imposés.

Ce nouveau mécanisme fait que ce ne sont pas les états qui paieront si une banque devait être en faillite, mais les actionnaires et les clients. A partir de 100 000 euros sur son compte, la banque pourra en prendre un pourcentage, sans le consentement du propriétaire. L’essai a été récemment transformé à Chypre, ou 10% des dépôts avait ainsi été ponctionné. Rappelons quand même qu’il n’y a rien de nouveau à cela, la garantie des dépôts bancaires ne s’appliquant pas au dessus de cette somme. Pour ne pas se retrouver piégé, mieux vaut donc avoir plusieurs banques. A ce dispositif est ajouté un fonds d’aide, dont l’argent vient des banques elles-même.

Une bonne nouvelle pour les épargnants ?

Quand on met son argent à la banque, c’est en principe pour le mettre en sécurité. Mais si celle-ci devient insolvable, va-t-on récupérer ses sous ? Jusqu’à cent mille euros, pas de problèmes (200000 pour un compte commun), au dessus, c’est à voir (et 70000 pour les actions et les Sicav si les titres disparaissent, même chose pour l’assurance vie). Mais cette somme « plafond » est quand même plus élevée que les soixante dix mille en vigueur en 2008. L’état a intérêt à fixer cette limite assez haute, pour ne pas voir les épargnants vider leurs comptes au moindre signe de panique. Mais si jusqu’à maintenant, il a garanti la continuité du système, pourra t-il continuer à le faire si tout se casse à nouveau la figure ? Car cet engagement repose sur une volonté affirmée, et non pas sur un texte de loi. A partir de là, tout peut arriver, sauf pour le livret A et le LDD qui ne seraient pas impactés par une telle mesure.

Tout le monde bénéficie de cette garantie limitée des dépôts et de l’épargne, qu’il s’agissent des entreprises ou des particuliers, mais aussi les associations, par client et par établissement. Répartir ses avoirs est donc une façon de multiplier ces sommes et de se couvrir un peu plus. Attention toutefois : 100% des banques ne bénéficient pas de la garantie. Pour cela, il faut qu’elles y adhèrent, mais toutes les grandes banques l’ont fait. Ce n’est pas le cas de certaines petites banques étrangères par exemple.

Faut-il s’inquiéter ?

Les banques ont l’air solides, comme ça, vu de l’extérieur, mais tant qu’elles continueront à spéculer, elles risquent de se prendre les pieds dans le tapis. Tout ne va pas s’écrouler demain, mais il faut pouvoir les contrôler mieux que cela, car pour le moment, il y a un côté obscure de la force que personne ne maîtrise. Il ne faut donc pas avoir peur de la ruine, et mettre ses économies sous son matelas, du moins pas encore. En revanche, tout cela doit être surveillé de très près.

Le contribuable par contre, peut se reposer sur ses deux oreilles, il n’est plus en première ligne. Toutefois, en dernier recours, l’état a encore la possibilité d’intervenir et de mettre, une nouvelle fois, la main à la poche.

Que faut-il faire ?

La solution ? Que toutes arrêtent de spéculer avec un argent qui appartient à leurs clients. Rappelons quand même que François Hollande avait dans l’idée de séparer en deux les banques, d’un côté les dépôts, et de l’autre les investissements. Mais ces belles paroles ont du faire face aux lobbies bancaires, de loin les plus forts, hélas, trois fois hélas. Ce qui est triste en revanche, c’est d’avoir fait croire des choses qui n’étaient réalisables dans la réalité, en tout cas jusqu’à maintenant.

L’Italie est loin de crier victoire

Car elle peut être le prochain pays touché par une crise bancaire majeure en Europe. Il n’y a qu’à voir les difficultés que rencontrent actuellement la BMPS, La Monte dei Paschi di Siena, même si cela ne date pas d’hier, elle n’a pas résisté aux tests de la BCE en 2014. Son titre a même été suspendu à la bourse de Milan, celui-ci dévissant à la vitesse grand V. Les suspensions temporaires permettent de freiner la chute, mais cet artifice ne dure qu’un temps. Dans son sillage tourmenté, les autres banques plongent aussi, et leur capitalisation avec. Ce sont les créances dites « douteuses » qui sont mises en cause, et les différentes augmentations de capitaux qui se sont succédés l’ont fragilisé.

C’est donc tout le système bancaire italien qui souffre, et avec lui l’économie puisque les projets rencontrent plus de difficultés à se faire financer. L’organisation bancaire italienne rend tout cela difficile à redresser, avec la multiplication des petites banques, plus de 700 dans le pays.

Les risques à venir pour l’Italie

La commission européenne tente de rassurer les foules en affirmant qu’on est loin d’une crise bancaire en Italie. Des paroles c’est bien, mais des actes, c’est mieux. Car beaucoup pensent que le marché a toujours raison. En l’occurrence, les titres qui dévissent, c’est qu’il y a de bonnes raisons. Et cela pourrait continuer tant que le secteur ne sera pas consolidé. Car il reste beaucoup de créances douteuses, avec des prêts qui ne rapportent pas, comme cela a pu être le cas en Grèce récemment. Et tous ces crédits à risques fragilisent les fondations de ces établissements. Pour mettre de l’ordre dans tout cela, il faudrait que les petites banque se regroupent et deviennent de grands groupes, comme en France.

Royaume-Uni : l’inquiétude du Brexit (la sortie britannique)

L’Europe n’avait pas besoin de ce référendum à venir. Quels risques en cas de sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne ? Car c’est finalement la menace la plus importante, bien plus encore que le cours du pétrole. Il faut donc espérer que celui-ci n’ait pas lieu, car en cas de oui à la sortie, c’est le premier partenaire économique de la zone euro qui ferait ses valises et les accords commerciaux en vigueur jusqu’à maintenant avec. Il n’y a qu’à ce qui se passe à la City : personne ne veut quitter l’UE. Même Goldman Sachs s’y met en menaçant d’aller s’installer ailleurs. La banque s’investie activement pour que le non l’emporte au référendum. Pour les milieux d’affaires, sortir de l’union n’aurait rien de bon.

Et ce que redoute l’Europe, c’est l’effet domino d’une telle sortie, incitant d’autres pays à faire de même, faisant s’écrouler le château de cartes. Surveillons donc les tractations en coulisse pour que le oui à l’Europe l’emporte largement (ce qui est, pour l’instant, loin d’être gagné). Mais le premier ministre britannique a les fesses entre deux chaises, et il doit ménager la chèvre et le chou. Il cherche des compromis, mais la partie de poker pourrait faire de sérieux dégâts, car il y a beaucoup d’euro-sceptiques en Grande-Bretagne. Pourtant, celle-ci n’aurait rien a gagné à quitter l’union, qui lui profite économiquement.

Le jeu des chaises musicales des banques en crise est revenu à la mode, et il n’a pas fallu attendre très longtemps pour cela. Car à part renflouer les caisses, pas grand chose n’a été fait pour éviter que les erreurs du passé ne se reproduisent.

Quand on est français et qu’on cherche une auto-école, on regarde avant tout le prix de la formation. Les tarifs sont élevés en France, et certains se disent que le passer dans un autre pays serait la solution (c’est aussi valable pour le permis moto). L’âge est aussi un facteur important dans son choix. Apprendre à conduire à 16 ans, beaucoup d’adolescents en rêvent. Passer son permis de conduire au Luxembourg, pourquoi pas ? Mais il y a quand même quelques petites choses à savoir avant de démarrer sa formation et d’acheter une voiture en leasing…

Avoir son permis au Luxembourg : on the road again !

Ici aussi, il faudra passer par une école agréée. Selon la catégorie, l’inscription sera possible à 16 ans pour pouvoir conduire un deux roues de petite cylindrée, à 18 ans pour une voiture et à 20 ans pour une grosse moto (jusqu’à 21 ans pour des permis spécifiques). Au niveau de la formation, 12 heures suffisent pour passer l’examen théorique. Entre nous, c’est quand même peu pour maîtriser la route et ses dangers, mais le tout est de bien potasser à la maison (code à se procurer dans toutes les bonnes librairies). S’en suivra l’examen pratique, après avoir pris le nombre suffisant d’heures de conduite.

La condition à ne pas oublier pour passer son permis dans le grand duché : y résider ! Il vous faudra donc avoir une adresse au Luxembourg.

L’auto-école

Passer son code n’a rien de sorcier, à condition d’être prêt. L’examen se passe de façon informatisée. On peut même choisir sa langue : en français, en allemand ou en luxembourgeois (voir comment apprendre le luxembourgeois gratuitement). Si vous vous loupez, ce qui peut arriver, il faudra au moins reprendre 6 heures de théorie avant de le repasser. Au niveau des fautes, il ne faut pas en faire plus de 4, la note finale devant au moins être égale à 16/20.

Pendant que vous travaillez votre code, vous pouvez commencer à prendre des leçons de conduite. Il en faudra au moins 16 avant de pouvoir s’inscrire à l’examen. Le nombre de passage est illimité, pratique pour ceux qui ne sont pas dégourdis, mais à chaque fois, il faudra reprendre des heures.

Une fois le permis en poche

Il y a une période probatoire de 2 ans, avant d’avoir le permis définitivement (valable 10 ans, après il est périmé). En attendant, vous aurez un carnet de stage, où seront indiquées les infractions éventuelles. Autant vous dire qu’il vaut mieux que celui-ci reste vierge.

Passez son permis au Luxembourg en étant français n’ a rien de compliqué puisque les examens ressemblent un peu au nôtres, ainsi que les pièces justificatives demandées.

Pour les détenteurs de permis étrangers, au Luxembourg

Il se peut qu’un étranger soit obligé de faire enregistrer son document de conduite auprès de la société nationale de circulation automobile, ou bien de l’échanger contre un permis luxembourgeois. C’est pratique quand on égare le sien, pour le faire refaire, et cela évite de retourner dans son pays pour s’en faire délivrer un nouveau. Il n’y aura pas un nouvel examen à passer pour cela. Avant de faire les démarches, assurez vous d’avoir en votre possession un certificat de résidence (vous n’êtes toutefois pas obligé de travailler au Luxembourg).

Les formalités pour ouvrir une entreprise sont parfois lourdes et coûtent de l’argent, somme qui serait plus utile à son lancement et à son développement plutôt qu’à régler les frais de constitution. Le Luxembourg, conscient des difficultés des petite entrepreneurs pour se lancer à donc créé la SARL simplifié, permettant aux nouveaux chefs d’entreprise d’ouvrir une société avec 1 euro au Luxembourg, un peu comme il est possible de la faire en France d’ailleurs, bien que les banques, chez nous, ne prennent pas trop ce type de montage au sérieux.

Stimuler la création d’entreprise

Ce projet de loi, qui vient d’être adopté, donne un coup de pouce à ceux qui veulent se lancer dans le difficile métier d’entrepreneur. Ce sont plutôt les petites entreprises qui sont ici visées, les autres ayant d’autres chats à fouetter. Car permettre de se créer pour 1 euro, c’est la possibilité de se servir de l’argent pour autre chose : acheter le matériel, trouver un local bien placé…

C’est une formule idéale pour tous ces jeunes créateurs qui ont plein d’idées et qui veulent lancer une start up. Ce moindre coût ouvre la voie à beaucoup plus de personnes, rebutées dans le passé par des procédures trop lourds pour prendre le risque de se lancer. Les nouvelles technologies vont sans doute pouvoir en profiter au Luxembourg. Pour les français, en savoir plus sur la domiciliation.

Marquer sa différence avec une SARL

Même si c’est une variante, la S fait quand même partie de la grande famille SARL. La différence, c’est le capital : on passe de 1 à 12394 euros minimum (même s’il est possible d’opter pour un juste milieu). D’autres caractéristiques qui la rende unique : elle est pour les personnes physiques qui exercent une activité de commerce.

Nous sommes ici dans une logique tendance, ayant pour but de dynamiser un secteur où les créateurs hésitent à s’engager. La lourdeur administrative est un frein certains à l’économie, et il semblerait que nos dirigeants commencent à le comprendre ! En France, en Belgique et au Luxembourg, les initiatives se multiplient dans ce sens.

Les pièges à évier

Quelque soit la formule choisie, SARL ou S, il faut rédiger des statuts en béton, et donc se faire aider par un avocat ou un expert comptable pour cela. Un capital à 1 euro pour démarrer ne veut pas dire qu’il faut lésiner sur le reste, même si cela à un coût.

Bon à savoir : on ne peut pas s’engager en tant qu’associé dans plus d’une SARL-S. Dans le cas contraire, on devient automatiquement caution solidaire de tous les engagements pris dans les sociétés dans lesquelles on est associé. De quoi refroidir ceux voulant aller contre la règle…

La nouvelle SARL-S est pourtant contestée par la CSL (La Chambre des Salariés)

Qui l’eut cru ? C’est encore une fois la peur du changement qui fait (mal) réagir ceux qui pensent du mal de ce projet. Les raisons : des employeurs embauchant des indépendants à la place de salariés… Donc moins de taxes, de frais et de soucis… Ah bon, c’est mal ? Décidément, les réfractaires au progrès ne comprendront jamais rien à ce monde qui avance. C’est dommage pour le Luxembourg. Heureusement ce genre de pensée rétrograde est minoritaire.

A lire aussi : travailler au Lux

La nouvelle politique du pays pour obtenir la nationalité oblige les candidats à connaître la langue avant de pouvoir prétendre y vivre durablement et donc y travailler sur le long terme ou de pouvoir créer son entreprise. L’intégration passe par un langage commun, pouvoir se comprendre étant la première pierre du vivre ensemble. Apprendre sur Internet ou sur une application iphone et Android est plus difficile qu’il n’y paraît, car rien ne vaut l’expression orale. Il est aussi possible d’apprendre le luxembourgeois au Luxembourg, et de trouver des cours gratuits pour ceux qui n’ont pas trop les moyens.

Cours en ligne de l’université de Luxembourg

C’est l’option la moins contraignante, surtout si on a un emploi et qu’on ne peut apprendre que le soir. Le E-Learning est une méthode qui a fait ses preuves, à condition d’être assez rigoureux pour pouvoir travailler seul de son côté. Les francophones peuvent donc prendre des cours en ligne grâce à l’université du Luxembourg, le tout sans payer. Ce sont les situations du quotidien qui y sont abordées, pour pouvoir se débrouiller quand on commence à vivre au Luxembourg. En plus du vocabulaire, un effort est fait pour aider à la bonne prononciation. Beaucoup d’exercices en ligne et un apprentissage sous forme de jeux pour connaître rapidement se spoints forts et ceux qu’il faudra travailler un peu plus.

Les autres options

Parce qu’il n’y a pas qu’Internet dans la vie, il y a d’autres moyens d’apprendre le luxembourgeois. Le grand duché a mis les petits plats dans les grands pour permettre à tous les candidats d’avoir leur chance le jour de l’examen : le e-learning (vu un peu plus haut dans l’article), des fichiers MP3, des cours du soir organisées par presque toutes les communes du pays. Pour les plus courageux, il est même possible de passer un diplôme de luxembourgeois ou de suivre une formation poussée à la fac, comme un master de langue par exemple.

Attention : test de langue pour obtenir la nationalité !

Car pour pouvoir rester dans le grand duché, il n’y a pas 36 solutions : il faudra réussir le test de langue. C’est une des conditions (parmi d’autres) pour pouvoir acquérir la nationalité. Bien sûr, on ne vous demandera de savoir tenir une conversation philosophique, mais d’arriver à se débrouiller dans la vie de tous les jours : demander son chemin, prendre les transports, faire ses courses… Bon à savoir : c’est à l’oral qu’il faudra arriver à se débrouiller, l’écrit à moins d’importance (dans un premier temps).

Une appli mobile

Le smartphone, votre meilleur ami, peut aussi vous aider dans votre démarche. Il existe une appli (développée par une belge) qui permet d’apprendre facilement les 1000 mots de base. C’est à partir de ce socle qu’on pourra ensuite développer son vocabulaire. Elle est gratuite et permet de s’entraîner partout, même dans les transports ou aux toilettes… D’autres applications pour mobiles, payantes (mais pas trop chères) existent aussi.

Pour s’installer au grand duché, il va falloir se retrousser les manches et repartir sur les bancs de l’école. Ce qui est facile à 1à ans l’est moins à 40, surtout quand notre langue natale est à des années lumières de la prononciation du luxembourgeois… Bon courage à tous !

Le Luxembourg n’est pas seulement une destination phare pour les affaires. On peut aussi apprendre à les faire, dans une business school de renom par exemple. Les écoles de commerce au Luxembourg ne manquent pas. Elles délivrent des formations de qualité pour ceux qui veulent savoir comment gagner encore plus d’argent. C’est un peu abrupt dit comme ça mais ici, on forme la crème de la crème. Etudier au Luxembourg n’est pas une chance, c’est un privilège. Heureux ceux qui vont passer par les meilleures écoles : c’est un bon job presque assuré à la clé.

l’ECG

Ca fait plus de 40 que l’école de commerce et de gestion du grand duché forme les bons élèves. Dans toutes les formations il y a un côté pratique qui permet de pouvoir s’intégrer plus rapidement en entreprise. On peut y suivre au choix un BTS (brevet de technicien supérieur) ou bien un enseignement secondaire technique, dans des matières en rapport avec l’administration des entreprises, ou bien le commerce. L’école est moderne dans son approche et les infrastructures sont excellentes.

LSC: Luxembourg School of Commerce

Nous ne sommes pas ici dans le système scolaire du Luxembourg a proprement parlé, mais dans un organisme de la Chambre de Commerce du grand duché qui va former les jeunes au monde du travail, mais aussi apporter des qualifications supplémentaires aux chefs d’entreprises et aux salariés déjà en poste qui en ont besoin. Car pour réussir dans son activité, ou pour décrocher un bon poste chez un employeur, il faut avoir dans son bagage le plus de qualifications de qualités possible. Les patrons de nos jours veulent embaucher des gens qui sont bien formés et qui peuvent être opérationnels tout de suite si besoin. Le monde économique bouge si vite que plus personne ne peut prendre le temps de mettre un jeune sur les rails. C’est à l’école, en plus de la théorie à le faire.

La chambre de commerce a donc ici un rôle important à jouer en matière de formation professionnelle dans le pays.

Sacred Heart University

C’est une université du Luxembourg qui existe depuis 20 ans. Ici, on envoie du lourd, avec un MBA finance qui a une excellente réputation dans les milieux d’affaires. Le MBA est une spécialisation à faire après avoir eu son diplôme. Dans ce cadre là, des stages sont proposés aux étudiants, qu’ils viennent du pays ou de l’étranger (et ils sont beaucoup à venir se former au Luxembourg en MBA car les profs sont de qualité. Beaucoup d’entre eux sont des chefs d’entreprise qui ont réussi dans leur business).

Cout de la vie et financement

Vouloir étudier au Luxembourg c’est bien, encore faut-il avoir les moyens financiers de le faire. Car il y a peu de jobs pour les étudiants, il ne faut donc pas trop compter là dessus. Si vous parents ne vous aident pas, il reste la solution de la bourse surtout si vous partez avec le programme Erasmus : 100 euros par mois. Pour les bourses d’état et les prêts à 2%, il faut résider dans le pays.

Sur place, vous aurez quand même des dépenses incompressibles : frais de scolarité, logement, transports, repas. La vie n’est pas plus chère qu’en France, sauf pour le logement (mais vous pouvez tenter votre chance pour avoir une chambre sur le campus), donc faites vos calculs. Une solution à laquelle on ne pense pas toujours : vivre côté français près de la frontière pour faire des économies. Une bonne nouvelle quand même : vous pouvez garder votre sécu française.

Une fois votre diplôme en poche, il ne vous restera plus qu’à travailler au Luxembourg !

Travailler au Luxembourg et vivre en France, beaucoup le font. D’abord, parce que les salaires moyens sont plus important, mais surtout parce que dans certaines branches il y a des offres emploi (ce qui est devenu le véritable critère) et des perspectives d’évolution : restauration, sécurité, informatique, santé, finance… Les frontaliers, et même ceux qui sont à 1 heure et plus en TGV sont de plus en plus nombreux a tenter l’aventure, même sans parler anglais et avec peu (ou sans) de diplômes.

L’intérêt de travailler au Grand Duché

En étant français, on se dit qu’on ne va pas forcément être accueilli à bras ouverts. Sauf que la moitié des travailleurs au Luxembourg passent la frontière (Allemagne, France et Belgique) quotidiennement et ne sont pas des résidents. C’est donc une pratique courante. On y vient pour le SMIC qui est supérieur à 1900 euros par mois (beaucoup moins de charges à payer pour le patron). Cette somme sera par exemple la rémunération pour un job d’été. Mais en cas d’emploi qualifié, ce salaire peut très vite grimpé très haut. Travailler dans la finance, dans l’hôtellerie, comme cuisinier, infirmière ou aide-soignante rapporte gros. Mais le coût de la vie est en relation avec les rémunérations, d’où l’intérêt de rentrer en France chaque soir. Pour ceux que le salariat rebute, vous avez aussi la possibilité de créer une entreprise au Luxembourg.

Les recrutements dans la finance

Malgré la fin du secret bancaire et la crise, la place financière se porte bien et continue à recruter. Il y a donc beaucoup de travail dans ce secteur au Grand Duché, où la crise financière que connaît l’Europe n’a pas le même impact que dans les autres pays.

Les tenants et les aboutissants

Le salaire minimum : détails et conditions

Comme en France, ce sont les patrons et les salariés qui se mettent d’accord sur les salaires. Sauf qu’il y a un seuil sous lequel il n’est pas possible de descendre. On parlera alors de salaire minimum. Au Luxembourg, celui-ci est différent selon que l’employé est qualifié (niveau d’étude supérieur au CATP ou avec un CCP depuis 2 ans ou plus) ou non. Rappelons tout de même que le Grand Duché est le pays européen qui paye le mieux, raison pour laquelle de nombreux français qui habitent près de la frontière vont y travailler.

Chaque année, ce salaire minimum est revu à la hausse, on attend donc celle de 2017 avec impatience. Actuellement, nous sommes sur un SMIC non qualifié à 1922 euros et son pendant qualifié à 2307 euros. Les travailleurs qui sont en dessous de 18 ans vont toucher un peu moins. A contrario, l’ancienneté va venir augmenter la rémunération. Ces sommes n’ont pas vraiment bougé depuis 3 ans. Espérons qu’il y aura une augmentation conséquente cette année.

Le plus grand syndicat : l’OGBL

Si les salaires sont si haut au Luxembourg, c’est aussi parce que les syndicats font bien leur travail. Le plus connu est l’OGBL, majoritaire dans le pays, qui défend les salariés et en particulier la délicate question des rémunérations. Le syndicat est présent dans tous les secteurs économiques et même les étudiants ainsi que les apprentis peuvent y adhérer. Contrairement à la France, les finances du syndicat viennent uniquement des cotisations des adhérents. L’état ne participe pas à son budget.

Le temps de travail au Luxembourg

Les 35h n’y sont pas pur demain. On y travaille 40h par semaine à raison de 8h par jour, les frontaliers doivent donc y réfléchir à 2 fois avant de sauter le pas. Toutefois des réglementations importantes existent, notamment pour les employés qui travaillent la nuit ou le dimanche. Ainsi, il est interdit de travailler ce jour là, sauf s’il y a eu un accord d’entreprise ou s’il est impossible de faire autrement. Bien sur, le travailleur sera payé en conséquence avec un plus un repos compensatoire.

Attention, ceux qui ont 2 boulots ne peuvent dépasser cette durée légale hebdomadaire qu’après en avoir informé l’inspection du travail.

Le train: le moyen de transport idéal pour les trajets France-Luxembourg

Les frontaliers, ou ceux qui habitent en Moselle ont pris l’habitude de prendre le train chaque matin pour rejoindre leur poste au Luxembourg. Reste que l’abonnement mensuel a un coût certain. Mais la solution est bien plus gagnante que celle qui consiste à prendre sa voiture, à se taper les bouchons et à mettre 3/4 d’heure pour se garer.

La SNCF, et la CFL, conscient que de nombreuses personnes font le trajet chaque jour ont mis en place des abonnements spécifiques pour prendre le train autant de fois qu’il est nécessaire de le faire. Passer la frontière du lundi au vendredi n’a donc plus rien d’exceptionnel pour aller travailler. Les abonnements Flex Way (ainsi qu’en version junior) permettent aussi de prendre les transports locaux pour le même prix. Il faut le faire charger sur sa carte Simplicités. Autres abonnements que FlexWay : FlexPass (sans les transports au Luxembourg) et FLexJunior (pour les jeunes de – de 21 ans ou de – de 26 ans s’ils sont étudiants).

Les points négatifs

Il va falloir laisser les 35h au vestiaire. Dans le Grand Duché, on travaille 40h, avec 5 semaines de congé payé. En plus, préparez vous à faire du trajet, à moins d’habiter vraiment près de la frontière, mais là, le prix de le pierre et les loyers sont importants. Enfin, si parler seulement le français peut s’avérer suffisant, être à l’aise en allemand ou an anglais sera un vrai plus lors de votre recherche d’emploi.

D’une façon générale, le droit du travail est beaucoup plus flexible qu’en France, notamment en ce qui concerne un licenciement éventuel. Mais difficile d’aller contre cette flexibilité à notre époque

Vivre et travailler au Luxembourg

C’est la solution si les trajets sont trop longs, mais il vous faudra trouver un job qui rapporte beaucoup pour être à l’aise financièrement dans le pays. C’est ce que fonds notamment les personne qui travaillent dans la finance et pour les hedge funds. Ils gagnent bien leur vie et paient moins d’impôts qu’en France (mais plus qu’en Belgique) où ils sont, eux, déjà prélevés à la source. Si vous avez des enfants, vous aurez de gros abattements fiscaux, de bonnes allocations familiales et des congés parentaux possibles.

Beaucoup d’avantages à travailler dans une société luxembourgeoise : véhicule de fonction, ordinateur portable, smartphone, primes, 13 et 14 ème mois… Mais pour trouver ce genre de jobs, mieux vaut avoir de l’expérience ou des diplômes solides. De toute façon, rien ne vous empêche d’envoyer votre candidature.

Les frontaliers belges favorisés

Il va bientôt être plus simple pour les frontaliers belges de travailler au Luxembourg, surtout au niveau de la fiscalité. Les belges vont avoir moins de démarches administratives à faire s’ils décident de travailler quelques semaines en Belgique et le reste du temps au Luxembourg.

Les concessionnaires automobiles n’ont plus que ce mot là à la bouche pour lutter contre l’érosion des ventes fermes, et le leasing auto au Luxembourg est en fort développement. Les avantages de la LOA, qui étaient à l’origine pour les pros deviennent une alternative au crédit classique pour les particuliers. Plus besoin de faire un emprunt pour avoir un véhicule en leasing. Il est toutefois nécessaire de faire un comparatif entre les différentes sociétés pour ne pas se tromper sur le tarif et les conditions.

Le choix du particulier : leasing ou achat comptant ?

Quand on vous propose de prendre une voiture en LOA, il faut savoir que c’est une location, celle-ci ne vous appartient pas à la fin du contrat, sauf à la racheter. Celui-ci peut porter sur une durée courte (2 ans), ou bien aller jusqu’à 5 ans. Ce genre d’arrangement se négocie directement avec un établissement de crédit. Attention donc au prix, car après addition des mensualités, il peut se révéler excessif, certaines entreprises n’y allant pas avec le dos de la cuillère, d’où la nécessité d’un comparateur pour éviter de se faire gruger.

Ce que vous devez savoir

Il vous faudra quand même avoir un petit peu d’argent de côté, car bien souvent, il y a un dépôt de garantie qui est demandé au moment de la réservation. Celui-ci n’excède en principe pas les 15% de la valeur du véhicule. Au niveau des loyers à verser, ils ne sont pas toujours égaux, et il peut arriver que les premières mensualités soient plus importantes que les suivantes. Dans tous les cas, on ne vous les remboursera pas à la fin du contrat, que vous leviez l’option d’achat ou non.

Attention aux kilomètres maximum qui sont prévus dans les clauses. Si vous les dépassez, à vous de payer la différence. A ne pas conseiller donc aux VRP qui roulent beaucoup. Sachez qu’en plus, les frais d’entretien seront à votre charge, et que ceux-ci sont obligatoires. De fortes pénalités peuvent vous êtres imposées si vous ne respectez pas cela.

Faut-il préférer le crédit classique ?

Avec celui-ci, vous serez propriétaire de votre voiture. Vous pouvez la revendre si ça vous chante et rouler tant que vous voulez avec. Avec un LOA, vous pouvez en changer régulièrement, pour toujours rouler dans un véhicule en bon état, et si vous avez des dettes importantes, personnes ne pourra vous en déposséder pour les solder.

Pour les entreprises, il y a aussi des enjeux liés à la fiscalité et à la TVA, qui ne peut pas être récupérée sur les loyers. En cas de LOA, pas d’amortissement non plus mais absence de taxe sur les véhicules de société. De plus, ces derniers ne peuvent pas être saisi par les créanciers éventuels.

Changer de voiture en cours de leasing

Est-il possible de transférer son contrat et donc de changer de véhicule ? Ce désir peut arriver après quelques mois pour une nouvelle marque ou un nouveau modèle. Si cela reste possible, l’opération aura forcément un certain coût.

Si vos difficultés financières ou la perte de votre permis vous obligent à interrompre le leasing, le mieux pour éviter de trop grandes pénalités est de trouver une autre personne à qui transférer le contrat. Tout le monde a à y gagner, et on trouve quelques annonces allant dans ce sens sur le net.

Dans quel pays investir en 2015 ? C’est la question que se pose, comme chaque année, à peu près toutes les entreprises qui se développent. Si le Luxembourg faisait parti de ces pays dans lesquels il faisait bon d’investir, la donne a changé, et les sociétés y réfléchissent à deux fois avant d’ investir au Luxembourg en 2015, d’autant plus que certaines d’entre elles ont programmé leur sortie, comme Netflix et Zynga. Cela va-t-il faire boule de neige, et quelles en sont les raisons ?

Netflix quittera le Luxembourg en 2015

Installer son entreprise au Luxembourg n’apporte plus autant d’avantages que par le passé, la faute notamment aux conditions financières et à la fiscalité qui ont changées (plus de transparence, ce qui ne plaît pas à tout le monde).

Rappelons que Netflix est une entreprise importante du net, qui propose de la vidéo à la demande. Elle est présente dans de nombreux pays européens, et son développement n’est pas près de s’arrêter, avec une arrivée prochaine en France (Netflix ne sera pas obligée de financer des oeuvres françaises car son siège est hors du pays). Jusqu’à maintenant, son siège était au Luxembourg. Mais il va bouger en 2015, vers les Pays-Bas. 

Pourquoi s’installer au Luxembourg ?

Le pays avait attiré Netflix, entre autre grâce à sa politique fiscale et à son taux de TVA plus bas que celui de ses voisins européens. Cette TVA particulière appliquée au commerce électronique va prendre fin début 2015, ce qui explique le déménagement de Netflix. C’est un coup dur pour le Luxembourg, qui en voulant faire plaisir aux autres états membres perd ici une source de revenu importante.

Le Grand Duché perd ainsi de son attractivité, même si le pays à encore d’autres atouts pour retenir les entreprises Internet, et elles sont nombreuses à avoir pour le moment leur siège européen au Luxembourg (Apple et Skype pour ne citer qu’elles).

Ce que les Pays-Bas ont de plus

Ce n’est pas à coup sur son taux de TVA, qui est de 21%. Mais là encore, c’est sa fiscalité particulière qui fait la différence. Rappelons que les dividendes transférés aux sociétés mères ne sont pas imposés. Ce régime fiscal est très attractif pour les gros groupes qui mettent en place des montages financiers complexes passant par les Pays-Bas pour en profiter.

Zynga et Kabam aussi

La nouvelle TVA de 2015 n’est pas le seul point noir qui fait grincer des dents certaines entreprises du secteur. En effet, le Luxembourg est un petit pays où il n’est pas toujours évident de recruter du personnel compétent. Zynga et Kabam, qui éditent des jeux sociaux s’en plaignent, et pourraient ainsi déménager vers l’Allemagne. Ce sont donc des emplois dans le Grand Duché qui pourraient aussi être impactés.

Quelles autres entreprises pourraient quitter le Luxembourg ?

Tous les géants de l’Internet qui ont actuellement leur siège au Luxembourg pourraient être amener à quitter le navire, si la TVA était la seule raison de leur venue dans le Grand Duché. Amazon, Skype et iTunes Store vont-elle rester ? L’avenir nous le dira, mais elles ont pour habitude d’être réactives, donc la réponse devrait arriver assez vite.

Pour remplacer son véhicule en urgence quand on est fiché FICP en France, pourquoi ne pas se renseigner sur la LLD au Luxembourg ?  La voiture en leasing pour particulier, c’est l’assurance d’une location longue durée, avec un coût moins important qu’un achat, même lorsqu’il s’agit d’une voiture de sport ou d’un véhicule de luxe. Nous nous penchons ici sur la société luxembourgeoise Prestige GT, qui propose la location de voiture de luxe en LLD pour particulier.

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LLD et FICP : est-ce possible ?

Etre interdit bancaire en France, c’est souvent l’impossibilité de faire un crédit pour acheter une voiture, avec toutes les difficultés que cela implique, en particulier quand il s’agit de conduire pour aller travailler (quand on ne peut pas faire autrement). La location de voiture longue durée pour FICP () peut être une alternative à un fichage BDF en France, surtout quand il s’agit de choisir une société de leasing au Luxembourg. Celle-ci acceptera la transaction, à condition de fournir des justificatifs de revenus et des garanties suffisantes pour assurer le bon paiement de la location.

Une société qui loue des voitures en leasing aux particuliers

Le Luxembourg est souvent cité lorsqu’il s’agit de louer une voiture de luxe en leasing. Les gros modèles et les voitures de sport sont chères à l’achat, et la location peut permettre de rouler dans une superbe voiture sans forcément devoir régler le prix d’une voiture neuve, surtout qu’à cela s’ajoutent l’assurance, l’essence, et les diverses taxes pour ce type de véhicule.

Les solutions de financement de prestige GT

D’abord, il faut savoir qu’au Luxembourg, lorsqu’il s’agit d’une LLD, il n’y a pas d’avance de TVA à faire, en tout cas chez Prestige GT. Pour ceux qui craignent de devoir régler l’impôt sur la fortune suite à un leasing important, pas de panique : il n’y a pas d’ISF au Luxembourg.

Concrètement, il faut régler 35 % à la commande, ce qui marque une grosse différence par rapport à l’achat d’une voiture de sport neuve. Ensuite, à chacun de choisir ses loyers, entre 12 et 60 mois, et de régler le solde une fois le leasing terminé. Si l’envie vous prend de devenir propriétaire de la voiture avant la fin de la LLD, il est possible de régler le solde avant terme, sans pénalités.

Les avantages de s’immatriculer au Luxembourg en LLD

Pour un FICP français, immatriculer sa voiture au Luxembourg est un avantage considérable, mais pas seulement. C’est aussi une garantie de discrétion, puisque le nom du conducteur ne figure pas sur la carte grise (le conducteur n’est pas le propriétaire de la voiture). C’est une formule qui est ouverte aux particuliers, mais aussi aux entreprises, qui peuvent ainsi amortir le coût de leur parc automobile sur une longue durée.

Une fois le leasing terminé, il est possible de rendre la voiture, ou d’en louer une autre, avec la même formule. Chacun peut ainsi disposer plus facilement d’un véhicule haut de gamme, sans se soucier des questions de taxes ou d’assurance.

Prestige GT permet de rouler dans une superbe voiture, sans forcément être très riche. Le leasing en location longue durée au Luxembourg attire de  plus en plus de français, qui profitent ainsi de la fiscalité avantageuse luxembourgeoise.

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